Mercredi 5 novembre 2008 à 19:36

[J'irais Dimanche à Orly Sud, voir le métal s'prendre pour une plume]

http://0ut.0f.the.w0rld.cowblog.fr/images/730828927.jpg                                                                                                                                                                                                   [ Et ce sont ses yeux qui m'on soignée ]
 




Tout ca n'a ni queue ni tête.


J'y ai cru. Non vraiment. J'ai vraiment pensé que six mois c'a nétait rien. Que nous deux ca ne devait pas s'arreter comme ca, qu'on etait au dessus de ça toi et moi, au dessus de toute ces histoires factices, de tous ces gens qui ne savent faire que semblant. Mais par dessus tout, je pensais qu'on etait très, très loin de ceux qui ont peur. Ceux qui ne savent se regarder dans les yeux tellement, le coeur au bord des lèvres, résignés sans avoir essayer. Selon moi ils sont pires que tous, pires que tout. Ce sont les personnes les plus ridicules qui soit, à se voiler la face juste par principe, parce que c'est mieux comme ça, au moins ca evite d'être malheureux. Ca évite d'être heureux aussi. Mais apres je ne pense pas qu'ils en aient vraiment envie. Etre heureux c'est le truc plus incertain du monde, ça vous tombe dessus quand vous vous y attendez le moins, et une fois que vous commencé à y croire, il se barre sans prévenir. Et ça c'est trop. Bien plus que l'on peut en supporter. Un risque qu'il est inutile de courrir. Soit parce qu'il/elle n'en vaut pas la peine. Soit parce que justement il/elle en vaut bien trop la peine. Trop encore une fois. Que les souvenirs passés ensemble sont bien trop precieux pour les sabrés à coup de deuxièmes fois. Il faut laisser le temps passer et la page se tourner. Nous nous sommes dit au revoir en bonne et due forme non ? Je ne sais toujours pas pourquoi nous nous sommes tant attachés, je ne sais pas non plus pourquoi tout cela s'est terminé ainsi, mais juste depuis aujourd'hui que c'est bel et bien fini. Parce que c'était trop. Vraiment trop. Peut-être qu'il vaut mieux laisser le passé où il est. Mais pour une fois le présent m'apparaissait comme un peu plus doux. Je ne parlerais pas d'avenir car je sais depuis bien longtemps qu'il est inutile de parler d'avenir en ce qui me concerne. Non pour une fois je voulais juste vivre au présent. Pourquoi pas avec lui qui sait ? Peut-être. Mais avec des peut-être tout est possible. Je garderai juste ton regard avant de me retourner vers notre oubli...

Lundi 3 novembre 2008 à 10:59


   - Soudain c'est le trou noir. Sans y prendre garde, on bascule et tombe sans retenue. L'ivresse nous emporte sans prévenir, à cet instant precis où l'on se sentait le plus à l'abris, immunisé contre ce genre de connerie qui n'arrive que dans les livres. Alors on lutte, on ne veut pas. On ne veut pas remettre sa vie dans des mains encore inconnues il y a quelques jours, on ne veut pas dépendre de cette ombre si tendre et si rassurante pourtant, on ne veut pas vivre qu'au travers d'un regard brulant. On se bat, on doute, on hésite. Et s'il valait mieux arreter là ? Bien sur, ca va faire mal mais c'est peu-etre mieux comme ca non ? Trop de questions se bousculent mais c'est alors qu'une étreinte furtive, un baiser déposé au coin des lèvres, un regard passioné viennent tout balayer en quelques secondes. On s'abandonne et se delaisse. Trop tard. Le bien/mal est fait. On se laisse submerger par cette vague incensée qui nous enveloppe et nous ravit a la réalité. D'un coup, plus rien n'est pareil. Comme s'il avait changé la couleur de notre ciel. On pose un regard neuf sur toutes ces choses qui nous entourent et l'on se laisse emporter par ce flot si doux. Ses bras deviennent le seul endroit où l'on se sente bien. On se met a compter les jours, les heures, les secondes, les coups de fil, les regards, les baisers, les mots tendres et toutes ces choses qui nous semblaient si ridicules et dérisoires il n'y a pas si longtemps. On se renie un peu et on se retrouve beaucoup, sans savoir vraiment pourquoi ni comment. Sans savoir non plus où tout ca pourra nous mener. On vit sur un fil. Un rien peut nous faire basculer alors on s'accroche d'une manière si irreelle que l'on n'y croit pas soi-même. Alors on se pose à l'ombre d'un arbre et l'on regarde ce bout d'homme qui en un rien de temps est entré dans notre vie et a tout chamboulé, nos rêves, nos désirs, nos espoirs mais aussi nos peurs, nos souffrances, et nos blessures. On ne comprend toujours pas comment on peut prendre autant de place en si peu de temps. On ne comprend pas comment une odeur suffit à nous embraser. On ne comprend pas comment aujourd'hui, il faut désormais se l'avouer, notre vie ne dépend plus que de lui. Alors, il ne reste plus qu'a fermer les yeux parce que malgré tout, on a toujours aussi peur, peur du vide qu'il pourrait laisser. Parce que c'est la plus belle de toutes nos douleurs. [ Jeudi 08 mai 2008 22:23 ]

Les choses ne sont pas toujours ce qu'elles semblent être. A mon grand regret je dois dire. C'était tellement plus simple de tourner la page et de ne plus en parler voire même peut être ne plus y penser... Tout cela me laisse extrêmement perplexe sans pour autant m'empecher d'attendre ce jour avec impatience. Le vent britannique nous souffle encore des souvenirs que l'on croyait ensevelis et mon corps reste blottis au creux de tes bras. Mais le temps reste aux désillusions...



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L'endroit le plus glauque du monde....

Dimanche 19 octobre 2008 à 17:27

Dimanche après midi ensoleillé. Dehors il fait si froid que restée blottie au fond de mon lit, mon chat roulé en boule sur mon ventre, semble être la seule option envisageable. La soirée fut bonne il me semble. Mais je dois avouer que boire pour oublier dans mon cas ça fonctionne plutôt bien. Les souvenirs s'avèrent être assez flou. Mais dans le fond, ce que l'on veut oublier vraiment, on le retrouvera toujours au réveil...

Mardi 23 septembre 2008 à 19:37

Des journées comme celle-ci me laissent vraiment perplexe.


J
e ne sais pas très bien si je vis encore au passé ou bien déjà au futur. Certainement pas au présent en tous cas. Lyon/Le Mans/ Paris - Toi/Moi/Nous - Elle/Lui/Eux. Lulu a raison " Tu débloques ma pauvre fille " Ouais j'avoue que j'ai un peu de mal pardonnez moi. Certainement encore un peu naïve et toujours aussi égocentrique. On n'se refait pas.

Angie en boucle. Freud à mon chevet. Guérison à coups de serpe. J'aimerais que l'avenir reste flou juste encore un peu.  With or Without you ne se pose même plus.

Quoi qu'il advienne nous revenons toujours l'une à l'autre. Comme l'étrange sensation que mes chemins ne peuvent mener qu'à toi. Lucette & Lucette. " Complètement allumées ces deux-là O_o". Juste parce que c'est Nous* et parce que j'ai envie de leur dire "Ta Gueule "  =D


Mes certitudes restent gravées.



Et Montmartre Qui Ne Nous Quittera Plus...

Lundi 15 septembre 2008 à 20:17

Trois longs mois s'étirent à l'infini sur le papier. Une éternité de jours où je vais devoir à nouveau trouver la force de balayer ces sept cents kilomètres d'un revers de main. toutes ces heures où je lutterai contre nos souvenirs qui m'étreindront jusqu'à m'étouffer. Ces souvenirs brulant de bonheur, ultimes instants rien qu'a nous, secrets inavouables.                                                                                                             Nos fleurs du mal cultivées avec le cruel délice de celui qui ne sait qu'aimer sans retenue. La vie reprend son cours, inflexible aux humeurs de l'âme endeuillée. Chaque rue me souffle un peu de nous, mais je suis seule désormais et il me semble même que les pierres pleurent nos rires évanouis. Aucun répit ne m'est accordé et c'est les joues brulantes et le cœur à nu que je te recherche sans espoir au creux de mes nuits. Mais tu n'es plus là et tout doit recommencer. Et ne plus s'arrêter.                                                               

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